Lévis, le 1er décembre 2015
Madame Sylviane Morrier
Affaires juridiques
Les Musées de la civilisation
16, rue de la Barricade
Québec, G1K 7A6
Madame,
Le 13 novembre 2015, la directrice des Communications des Musées de la civilisation à Québec (MCQ), Madame Geneviève De Blois, a refusé, sans me donner les raisons de son refus, de me permettre de prendre connaissance a) des documents relatifs à la création et au travail du comité formé par les MCQ et la Société d’histoire régionale de Lévis (SHRL) pour s’occuper de l’expertise de l’objet appelé communément « cage de la Corriveau », b) des documents créés par ou pour ledit comité.
Je vous demande de me permettre de prendre connaissance des documents relatifs à la création et au travail du comité formé par les MCQ et la SHRL pour s’occuper de l’expertise de l’objet appelé communément « cage de la Corriveau », ainsi qu’aux documents créés par ou pour ledit comité ou soumis audit comité.
Je vous prie de croire, Madame, à mes sentiments les meilleurs.
Roger Martel, citoyen de Lévis
6364, rue Fraser, Lévis (Québec), G6V 3S3
P.-S. Pour formuler une plainte, à qui le citoyen insatisfait des Musées de la civilisation doit-il s’adresser? J’ai écrit deux fois à la présidente du conseil d’administration, Madame Margaret Delisle; elle ne m’a pas répondu.
Cette communication et votre réponse seront publiées au lepasseurdelacote.com.
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( Le texte ci-dessous n’a pas été transmis aux Affaires juridiques des Musées de la civilisation. )
Au moins deux membres du comité dit scientifique formé par les MUSÉES DE LA CIVILISATION et la Société d’histoire régionale de Lévis (SHRL) pour s’occuper de l’expertise la « cage de la Corriveau » n’ont pas acquis la certitude que la structure trouvée par la SHRL est celle qui a reçu la dépouille de Marie-Josephte Corriveau. Les deux, Mesdames Sylvie Toupin, conservatrice à l’emploi des Musées de la civilisation, et Catherine Ferland, historienne, utilisent le CONDITIONNEL dans leurs déclarations publiées dans le site Web de Radio-Canada le 9 novembre 2015 :
Curieusement, les MUSÉES DE LA CIVILISATION et leur directeur général, Monsieur Stéphan La Roche, contredisent Mesdames Toupin et Ferland et prétendent que la certitude recherchée (et désirée par certains) a été acquise, ils déclarent que la « cage » trouvée par hasard dans Internet par la SOCIÉTÉ D’HISTOIRE RÉGIONALE DE LÉVIS est incontestablement la structure dans laquelle Marie-Josephte Corriveau à été exhibée.
Pour terminer, il est bon de souligner que plus de la motié des membres du comité dit scientifique sont membres de la SOCIÉTÉ D’HISTOIRE RÉGIONALE DE LÉVIS.
Il est bon de dire aussi que la Société d’histoire régionale de Lévis a déclaré à la population, à plusieurs reprises, que la « cage » trouvée par elle est inconstestablement celle qui a reçu la dépouille de M.-J. Corriveau, et qu’elle a commencé à faire ces déclaration AVANT qu’elle ait vue la « cage » aux États-Unis, et LONGTEMPS AVANT que le comité dit scientifique ne soit créé. C’est dire à quel point ces personnes ignorent ce qu’est la rigueur intellectuelle (Madame et Monsieur tout le monde sont en droit de se demander comment il se fait que certaines d’entre elles soient devenues membres du « comité scientifique »).
( J’invite les Musées de la civilisation et la Société d’histoire régionale de Lévis à répliquer au texte ci-dessus. Je passerai leur message. )
Roger Martel, le Passeur de la Côte, citoyen de Lévis (Québec)