Mois: avril 2018
PENSÉES POUR RAFFERMIR LES CERVEAUX ET LES COEURS.
LES MASSAGES RAFFERMISSENT LES MUSCLES. VOICI DES PENSÉES POUR RAFFERMIR LES CERVEAUX ET LES COEURS.
Si tu agis contre la justice que je le sache et que je te laisse faire, l’injustice c’est moi. (Gandhi; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 63)
Ne jamais laisser s’accomplir devant soi une méchanceté ou une injustice sans s’y opposer de toutes ses forces… Ne jamais laisser s’éloigner un malheureux sans avoir tout fait pour le soulager, pour qu’il soit moins seul… moins triste… (Alain; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 63)
Ne savez-vous pas ce qui me plaît? Rompre les chaînes injustes, délier les liens du joug, renvoyer libres les opprimés, briser tous les jougs, partager son pain avec l’affamé, héberger les malheureux sans asile, vêtir les gens déguenillés, au lieu de se détourner de son semblable. (Isaïe LVIII, 6-7; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 63)
La charité sociale conditionne, détermine, commande les actes de la justice sociale elle-même. (Pie X; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 70)
Donner aux indigents ce qui leur est nécessaire, c’est leur rendre leur dû, non donner du nôtre. Dès lors, nus payons une dette de justice plutôt que nous n’accomplissons une oeuvre de miséricorde. (saint Grégoire le Grand; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 70)
Ceux qui se croient chrétiens et qui se résignent mollement aux triomphes de l’injustice sont plus injustes que les injustes, car celui qui fait le mal a au moins le courage de le faire, celui qui s’en ait le complice par son silence en porte le même péché avec la lâcheté en plus. (Étienne Borne; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 63)
Ce n’est pas avec des velléitaires, mais avec des audacieux qu’on mène le monde et qu’on le sauve. (P. Bessières; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 201)
J’ai compris qu’il ne suffisait pas de dénoncer l’injustice. Il fallait donner sa vie pour la combattre. (Albert Camus; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 63)
Loin de croire que nous ne faisons rien, soyons plutôt confondus de la portée de nos actes; nous ne pouvons faire un pas sans peser sur l’univers. (A. Mahaut; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 151)
Le courage, c’est de dominer ses propres fautes, d’en souffrir, mais de ne pas en être accablé et de continuer son chemin. Le courage, c’est d’aimer la vie, de regarder la mort d’un regard tranquille; c’est d’aller à l’idéal et de comprendre le réel; c’est d’agir et de se donner aux grandes causes sans savoir quelle récompense réserve à notre effort l’univers entier. Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho de notre âme, de notre bouche et de nos mains, aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. (Jean Jaurès; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Sain-Jacques, 1977, p. 198)
Toute vie est une responsabilité, et nous sommes coupables non seulement du mal que nous faisons, mais du bien que nous ne faisons pas. (Élisabeth Leseur, cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 231)
L’Évangile n’est pas un somnifère, mais de la dynamite. Regardez l’heure à votre montre. En ce moment meurent des milliers d’hommes. Quelques autres milliers souffrent quelque part sur une table d’opération. En ce moment aussi, sur les bords de la Seine ou autre part, des femmes au désespoir sont sur le point de se suicider. À l’Est, il y a des dizaines de milliers de gens qui fuient. Ailleurs, des centaines de milliers sont dans des camps. Tout cela pendant ces quelques minutes… Et je devrais vous dire : « Je vous souhaite une bonne nuit »? Non, si vous n’avez rien fait, si vous ne voulez pas aider vos frères… je vous souhaite une mauvaise nuit, une nuit pas tranquille… (P. Leppich; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 232)
On est responsable de ce qu’on fait, de ce qu’on ne fait pas, et de ce qu’on empêche de faire. (Cardinal Suhard; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 231)
Faisons le mieux possible notre tâche, convaincus que le plus petit de nos actes a une répercussion sur toute l’humanité. (P. Doumer; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 232)
Pour qui sait les recueillir et s’en nourrir, il y a des pensées qui sont sources de vie. (A. Valensin; cité par le Père Gaston Dutil dans Vivre sa vie. Comment?, 2 éd., Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977, p. 510)
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Les citations précédentes sont tirées de ce livre du Père Gaston Dutil : Vivre sa vie. Comment?, deuxième édition, Paris, Centrale Saint-Jacques, 1977.
Ludovica, revue de la Table de concertation des sociétés d’histoire de la ville de Québec
Ludovica
Revue des sociétés d’histoire membres de la Table de concertation des sociétés d’histoire de la ville de Québec, publiée une fois l’an lors du Salon des sociétés d’histoire de la ville de Québec.
Salon des sociétés d’histoire de la ville de Québec
Société d’histoire de Sillery
Centre communautaire Noël-Brulart
1229, avenue du Chanoine-Morel
Québec (Québec) G1S 4X1
Ludovica Vol. 1, Numéro 1 Automne 2017
Présentation
Chers lecteurs et lectrices,
C’est avec une grande fierté que la Table de concertation des sociétés d’histoire de la ville de Québec vous présente ce premier numéro de Ludovica. Pour le salon 2017 des sociétés d’histoire de la ville de Québec, nous avons voulu remettre aux visiteurs un exemplaire d’une nouvelle revue qui vous présente ce que nous savons le mieux faire: vous parler d’histoire locale.
Le numéro que vous avez entre les mains est spécial et exceptionnel pour plusieurs raisons. Il est exceptionnel puisque plusieurs sociétés d’histoire de la région se sont unies pour faire une œuvre d’histoire commune. Cette revue, ce n’est pas le fruit du travail d’une seule société d’histoire, mais bien de plusieurs, d’une majorité ayant les ressources pour le faire. Si l’expérience est évaluée comme positive, nous espérons pouvoir la répéter lors des prochains salons des sociétés d’histoire. Il est aussi spécial puisqu’il reprend, pour chacun de nos territoires, un élément qui nous tient à cœur, soit la naissance de leur territoire, les familles pionnières et même un métier qui a donné naissance à une Nation.
Depuis 5 ans, nous organisons un salon où nous vous présentons nos réalisations par rapport à un thème. Celui de cette année s’est rapidement imposé pour nous comme un incontournable. Le quatrième centenaire de l’arrivée de Louis Hébert, de Marie Rollet et de leur famille nous permet de vous présenter notre vision de notre histoire, de demander à un spécialiste de vous parler de notre vision de l’histoire locale. Ce premier numéro est donc un essai à partir du peu de ressources que nous avons, mais avec tout le cœur que vous nous connaissez. Nous vous demandons d’être indulgents face au défi que porte l’édition d’une telle revue, mais partagez aussi avec nous la fierté que nous avons de cette réalisation. Chacune a son style, chacune a sa façon de voir une même réalité. Mais ensemble, nous avons travaillé à vous faire connaitre un élément important de notre histoire locale.
J.-Louis Vallée,
Coordonnateur de la table de concertation des sociétés d’histoire
Président de la Société d’histoire de Sillery
Table des matières
Arrivée en Nouvelle-France du couple Louis Hébert Marie Rollet par Louis Richer (SGQ)……………………………………….. 2
L’apothicaire Louis Hébert: L’Acadie comme premier laboratoire par Julien St-Georges-Tremblay (AARQ) ………………….. 5
Sur les traces de Louis Hébert et de Marie Rollet par Jérôme Ouellet (SHQ) ……………………………………………………….. 7
Les difficultés d’établir une colonie: les débuts du site de Cap-Rouge par Julien St-Georges-Tremblay (SHCR) ……………… 9
Charlesbourg à l’époque de Louis Hébert et Marie Rollet par Marc-André Bluteau (SHC)………………………………………………. 12
Les terres de Sillery à l’époque de Louis Hébert et de Marie Rollet par J.-Louis Vallée (SHS) ……………………………….. 15
Le territoire de Saint-Augustin-de-Desmaures au temps de Louis Hébert par Denis Desroches (SHSAD) ……………………….. 19
Le territoire de l’arrondissement Les Rivières par Michel Fragasso (SHLR)……………………………………………………….. 21
Sage-femme: une pratique indispensable par Mario Lussier (SHHStC) ……………………………………………………….. 23
Des chemins vers ailleurs par Gilles Falardeau (SHL’A.L.) ………………………………………………….. 25
SITE WEB DE LA FÉDÉRATION HISTOIRE QUÉBEC : http://www.histoirequebec.qc.ca/accueil.asp
Cimetière de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud (Québec)
Cimetière de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud (Québec),
premier avril 2018
Parution du numéro de mars-avril 2018 de la revue québécoise Relations. Décoder les temps présents.
http://cjf.qc.ca/revue-relations/publication/article/tumultes-politiques-decoder-les-temps-presents/
Revue québécoise Relations, numéro 795, mars-avril 2018 (Relations est publiée par le Centre Justice et Foi)
Tumultes politiques : décoder les temps présents
EXTRAIT
Par : Jean-Claude Ravet